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Hôtel: 40 €

Je sors vers 11h. Le ciel est menaçant. J'ai bien fait d'en profiter hier soir !

Je file à l'office de tourisme prendre un plan de la ville et poser quelques questions, puis direction l'office des pèlerins pour obtenir la Compostela, et ensuite le cyber-café pour sauvegarder les traces GPX du GPS sur une clé USB (à ce moment, j'hésite encore sur la suite du voyage).

Concernant l’obtention de la Compostela, pas d'inquiétude, elle se distribue comme des petits pains :-) Par contre, la file d'attente est longue. Il faut prévoir d'arriver tôt !

Je vais ensuite manger une ración de jambon serrano à la terrasse d'un bar en réfléchissant à ce que je ferai demain. Après avoir bien pesé le pour et le contre, je décide de revenir à Tours par les transports en commun. Voici ce qui a motivé cette décision:

  • Le temps est à la pluie.
  • J'en ai marre des nationales.
  • Le pédalier fait un bruit suspect.
  • La pile du compteur vient de me lâcher et celui-ci s'est réinitialisé (je n'ai plus mon tour de roue exact).

Une fois la décision prise, il faut que je m'organise. Je vais en bus à la gare pour prendre un billet de car à la compagnie ALSA pour le lendemain matin à 8h30. Le vélo devra être emballé. La bâche de sol de la tente et le fil à linge feront bien l'affaire...

Sur le chemin de l'hôtel je m'arrête dans une ou deux boutiques pour acheter quelques souvenirs (un magnet, de l'eau de vie, et une tarte aux amandes).

Demain la journée sera longue : 14 heures de car de Santiago à Irún...

File d'attente pour obtenir la Compostela
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Quelques souvenirs
Les « trophées » : Compostela et Credentiale

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