30-07-2009 (La Charité-sur-Loire - Cercy-la-Tour), 4ème jour | Tours - Vienne (EuroVelo 6) | Mois | Des randos plein les pattes

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Kilomètres: 111km, Pédalage: 5h45, Moyenne: 19,46km/h, Vitesse max: 49,78km/h, Camping: 5,70 €

Belle journée, malgré la perte répétée de l'itinéraire vélo, toujours aussi mal fléché sur la plupart du parcours.

Déjeuner à Decize: sandwich au jambon, part de pizza et flan. Nous sommes dans un lieu bucolique, très vert, près de l'eau. Une pause appréciée après les 5 heures de vélo de la matinée.

Nous repartons après avoir eu quelques problèmes pour trouver la voie verte longeant le canal du Nivernais, mais l'aide d'un ange gardien blonde et souriante nous sauve.

Nous longeons donc le canal tranquillement, en observant les petites péniches touristiques et les écluses. Idéal pour la digestion.

Au final, nous sortons (volontairement, pour une fois :-) ) de l'itinéraire vélo pour aller nous installer au camping municipal de Cercy-la-Tour. 5,70 € pour deux personnes avec deux tentes! Qui dit mieux?

Après avoir installé les tentes, nous allons nous détendre autour d'une bière bien fraîche. La lumière de cette fin de journée est superbe. Puis, nous allons faire quelques courses: fromage, pain et vin (pas de vin du coin, que du Côtes du Rhône dans la petite boucherie qui tient aussi lieu d'épicerie).

Dîner sympa. Dans notre élan, nous nous mettons en quête d'un bar dans lequel nous pourrons terminer en beauté avec un digestif... mais tout est fermé! Nous trouvons finalement quelque chose d'ouvert avenue Louis Coudant: « Le Petit Bar ». Éric, le patron des lieux, est gouailleur et sympa. Nous continuons donc la soirée ici, avec quelques verres de Mirabelle.

Nous discutons longtemps avant de rentrer dans le noir le plus complet... et en marchant de travers :-) Ma lampe de poche nous servira de guide. Arrivée fracassante au camping, et extinction des feux. (nous avions promis d'envoyer une carte lorsque nous serions à Vienne, et nous ne l'avons pas fait. Toutes nos excuses Éric!).

Je ne prends le temps ni de régler mon réveil, ni de gribouiller le journal (ce sera chose faite le lendemain soir). Le réveil sera douloureux, et un Doliprane sera le bienvenu! :-)